lundi 26 mars 2007
Ceillac - dernier WE de la saison
mercredi 21 mars 2007
Mon bel olivier
Arbre d'une très grande richesse symbolique, puisqu'il symbolise tt à la fois la paix, la fécondité, la purification, la force, la victoire et la récompense, il m'est arrivé au bureau mercredi 21 mars, début du Printemps. Suscitant par là même de nombreuses questions: c'est ton anniversaire? Qui te l'a envoyé? Pourquoi tu t'envoies des fleurs au bureau?...
Pourquoi tant de questions inutiles quand l'essentiel est de s'instruire?...
Dans les traditions juives et chrétiennes, l'olivier est symbole de paix: c'est un rameau d'olivier qu'apporta la colombe à Noé à la fin du déluge (tiens, tiens, ça m'évoque un parallèle intéressant avec mon cas en cours...). La croix du Christ était faite d'olivier et de cèdre. C'est en outre, dans le langage du Moyen Age que je maîtrise assez bien, un symbole de l'or et de l'amour.
En Islam, l'olivier est l'arbre central, l'axe du monde, symbole de l'Homme Universel et du Prophète, dit-on. L'arbre béni y serait associé à la lumière, l'huile d'olive alimentant les lampes.
Né d'un coup de déprime, le soir, ou l'après-midi, comme on voudra, c'est en tout cas un cadeau magnifique. Et puisqu'il est ici question de symboles, rendons hommage à "l'antiquité qu'il nous faudra pour nous calmer", après... Paix (intérieure), fécondité (de la vie), force (de partir), victoire (sur ses propres chaines), récompense (nouveau taf?)... Cela mérite en tout cas réflexion!
lundi 19 mars 2007
Mystical moments - Every grain of sand, Bob Dylan
Encore une petite chançon tirage de balle, sur une touche un peu mystique cette fois. On est pas loin de la poésie de Dylan Thomas...
In the time of my confession, in the hour of my deepest need
When the pool of tears beneath my feet flood every newborn seed
There's a dyin' voice within me reaching out somewhere,
Toiling in the danger and in the morals of despair.
Don't have the inclination to look back on any mistake,
Like Cain, I now behold this chain of events that I must break.
In the fury of the moment I can see the Master's hand
In every leaf that trembles, in every grain of sand.
Oh, the flowers of indulgence and the weeds of yesteryear,
Like criminals, they have choked the breath of conscience and good cheer.
The sun beat down upon the steps of time to light the way
To ease the pain of idleness and the memory of decay.
I gaze into the doorway of temptation's angry flame
And every time I pass that way I always hear my name.
Then onward in my journey I come to understand
That every hair is numbered like every grain of sand.
I have gone from rags to riches in the sorrow of the night
In the violence of a summer's dream, in the chill of a wintry light,
In the bitter dance of loneliness fading into space,
In the broken mirror of innocence on each forgotten face.
I hear the ancient footsteps like the motion of the sea
Sometimes I turn, there's someone there, other times it's only me.
I am hanging in the balance of the reality of man
Like every sparrow falling, like every grain of sand.
In the time of my confession, in the hour of my deepest need
When the pool of tears beneath my feet flood every newborn seed
There's a dyin' voice within me reaching out somewhere,
Toiling in the danger and in the morals of despair.
Don't have the inclination to look back on any mistake,
Like Cain, I now behold this chain of events that I must break.
In the fury of the moment I can see the Master's hand
In every leaf that trembles, in every grain of sand.
Oh, the flowers of indulgence and the weeds of yesteryear,
Like criminals, they have choked the breath of conscience and good cheer.
The sun beat down upon the steps of time to light the way
To ease the pain of idleness and the memory of decay.
I gaze into the doorway of temptation's angry flame
And every time I pass that way I always hear my name.
Then onward in my journey I come to understand
That every hair is numbered like every grain of sand.
I have gone from rags to riches in the sorrow of the night
In the violence of a summer's dream, in the chill of a wintry light,
In the bitter dance of loneliness fading into space,
In the broken mirror of innocence on each forgotten face.
I hear the ancient footsteps like the motion of the sea
Sometimes I turn, there's someone there, other times it's only me.
I am hanging in the balance of the reality of man
Like every sparrow falling, like every grain of sand.
samedi 17 mars 2007
ceillac
C'est parti,
on prend les mêmes (ou presque) et on recommence. L'histoire, certains, voire même beaucoup, d'entre vous la connaissent. Elle commence le vendredi soir par un train couchette gare d'austerlitz et se continue le samedi matin après une nuit dans le train en arrivant à la gare de Mont Dauphin - Guillestre. Ensuite, un peu plus de 30 minutes de montée en navette, et là, arrivée à Ceillac en Queyras, charmant petit village des Hautes Alpes perché à 1,640m d'altitude.
Des histoires sur Ceillac, il y en a des dizaines, de la descente en 15 minutes à la gare (temps jamais égalé qui m'avait vallu un train de pneus hiver sur ma Clio) avec Karen à mes côtés en train de massacrer une pauvre bouteille d'Evian entre ses cuisses en passant par une remontée de l'hôpital de Guillestre ou une surfeuse blonde en herbe avait échoué à bord de la camionnette FIAT du Matefaim à trois de front avec Alexis et Aude pour ne pas les nommer (la surfeuse se reconnaitra...) jusqu'à l'épopée La Grave et ses histoires d'équilibre en haut d'une barre rocheuse suivies d'un bon kilomètre dans la boue avec skis sur l'épaule... Ceillac ne laisse jamais indifférent... Moi j'adore!
Deux jours de ski avec un grand beau soleil, une neige de qualité, phénomène très rare cette saison et une fondue toujours aussi bonne, sans parler du génépi, ca remet tout le monde d'aplomb, moi je vous dis que ca.
Bon après la suite n'est pas tjrs aussi rose: deux jours d'arrêt maladie pour Laura (une bonne angine), et moi qui la chope dans la foulée pour terminer le vendredi soir au fond de mon lit en train de grelotter avec plus de 40°C de fièvre... Ca vend un peu moins de rêve, mais bon...
Pour le reste les photos parlent d'elles mêmes. En tt cas, moi si je vais mieux le WE prochain, c'est sur, j'y retourne. En tout cas j'ai les billets...
jeudi 8 mars 2007
Cocktail party Alumni L.E.K.
Et oui, tout arrive,
même les cocktail parties avec les anciens du bureau L.E.K. Paris depuis la date de sa création, soit 1989. Ca en fait du monde qui est passé par là. Rigolo de voir ttes ces têtes qu'on n'a pas forcément connues mais dont on a entendu parlé.
Et puis bon, l'avantage inhérent à ce genre d'évènements, c'est aussi les cocktails, le champagne, les petits fours et les tours de magie du magicien. Mais tout ca, c'est rien comparé au fait d'arrêter de bosser à 19h. Un vrai parfum de cour de récré...
Et comme on se refait pas, j'ai fait une petite photo en sortant du Fouquet's...
lundi 5 mars 2007
Pocahontas - Neil Young
Puisqu'il est de bon ton de récupére des video de youtube pour les faire partager, voici une chanson de Neil Young que j'aime particulièrement et dont voici les paroles:
Aurora borealis
The icy sky at night
Paddles cut the water
In a long and hurried flight
From the white man
to the fields of green
And the homeland
we've never seen.
They killed us in our tepee
And they cut our women down
They might have left some babies
Cryin' on the ground
But the firesticks
and the wagons come
And the night falls
on the setting sun.
They massacred the buffalo
Kitty corner from the bank
The taxis run across my feet
And my eyes have turned to blanks
In my little box
at the top of the stairs
With my Indian rug
and a pipe to share.
I wish I was a trapper
I would give thousand pelts
To sleep with Pocahontas
And find out how she felt
In the mornin'
on the fields of green
In the homeland
we've never seen.
And maybe Marlon Brando
Will be there by the fire
We'll sit and talk of Hollywood
And the good things there for hire
And the Astrodome
and the first tepee
Marlon Brando, Pocahontas and me
Marlon Brando, Pocahontas and me
Pocahontas.
dimanche 4 mars 2007
Sunday evening - no picture
Dimanche soir, son blues sempiternel et même pas la compensation d'un aricle à écrire sur mon blog, manque de photos. Pas faute d'avoir fait qq petites choses d'intérêt ces derniers jours, mais j'avais pas mon appareil avec moi. Surprising...
Du coup j'erre sur internet, et notamment sur youtube pour essayer de retrouver une video d'une chanson de Springsteen, "The river". Dans cette video (sur youtube.com, tapez bruce+springsteen+the+river+copenhagen), il chante sa chanson avec un jeune "guitariste" qui chante The River dans les rues de Copenhagen en faisant la manche. Le type a du etre assez surpris de voir débouler son idole pour chanter la chanson avec lui. Les gens en tt cas ont l'air d'apprécier...
Comme souvent avec Springsteen, l'Amérique (en tt cas une certaine amérique, plutôt celle de la rust belt) y est très bien décrite et la chanson est vraiment très belle. Si vous avez l'occasion de l'écouter
I come from down in the valley
where mister when you're young
They bring you up to do like your daddy done
Me and Mary we met in high school
when she was just seventeen
We'd ride out of that valley down to where the fields were green
We'd go down to the river
And into the river we'd dive
Oh down to the river we'd ride
Then I got Mary pregnant
and man that was all she wrote
And for my nineteenth birthday I got a union card and a wedding coat
We went down to the courthouse
and the judge put it all to rest
No wedding day smiles no walk down the aisle
No flowers no wedding dress
That night we went down to the river
And into the river we'd dive
Oh down to the river we did ride
I got a job working construction for the Johnstown Company
But lately there ain't been much work on account of the economy
Now all them things that seemed so important
Well mister they vanished right into the air
Now I just act like I don't remember
Mary acts like she don't care
But I remember us riding in my brother's car
Her body tan and wet down at the reservoir
At night on them banks I'd lie awake
And pull her close just to feel each breath she'd take
Now those memories come back to haunt me
they haunt me like a curse
Is a dream a lie if it don't come true
Or is it something worse
that sends me down to the river
though I know the river is dry
That sends me down to the river tonight
Down to the river
my baby and I
Oh down to the river we ride
Du coup j'erre sur internet, et notamment sur youtube pour essayer de retrouver une video d'une chanson de Springsteen, "The river". Dans cette video (sur youtube.com, tapez bruce+springsteen+the+river+copenhagen), il chante sa chanson avec un jeune "guitariste" qui chante The River dans les rues de Copenhagen en faisant la manche. Le type a du etre assez surpris de voir débouler son idole pour chanter la chanson avec lui. Les gens en tt cas ont l'air d'apprécier...
Comme souvent avec Springsteen, l'Amérique (en tt cas une certaine amérique, plutôt celle de la rust belt) y est très bien décrite et la chanson est vraiment très belle. Si vous avez l'occasion de l'écouter
I come from down in the valley
where mister when you're young
They bring you up to do like your daddy done
Me and Mary we met in high school
when she was just seventeen
We'd ride out of that valley down to where the fields were green
We'd go down to the river
And into the river we'd dive
Oh down to the river we'd ride
Then I got Mary pregnant
and man that was all she wrote
And for my nineteenth birthday I got a union card and a wedding coat
We went down to the courthouse
and the judge put it all to rest
No wedding day smiles no walk down the aisle
No flowers no wedding dress
That night we went down to the river
And into the river we'd dive
Oh down to the river we did ride
I got a job working construction for the Johnstown Company
But lately there ain't been much work on account of the economy
Now all them things that seemed so important
Well mister they vanished right into the air
Now I just act like I don't remember
Mary acts like she don't care
But I remember us riding in my brother's car
Her body tan and wet down at the reservoir
At night on them banks I'd lie awake
And pull her close just to feel each breath she'd take
Now those memories come back to haunt me
they haunt me like a curse
Is a dream a lie if it don't come true
Or is it something worse
that sends me down to the river
though I know the river is dry
That sends me down to the river tonight
Down to the river
my baby and I
Oh down to the river we ride
Inscription à :
Articles (Atom)